La Première Dame du Burundi appelle à un respect strict du calendrier vaccinal pour un avenir sain des enfants

La Première Dame du Burundi appelle à un respect strict du calendrier vaccinal pour un avenir sain des enfants

Lors d’une campagne de sensibilisation qui s’est tenue ce vendredi 22.03.2025 à Gahombo , dans la province de Kayanza, Son Excellence Angeline Ndayishimiye, Première Dame du Burundi a lancé un appel à la population, en particulier aux parents, pour respecter le calendrier vaccinal. Elle a souligné l’importance des vaccinations pour garantir un avenir sain à leurs enfants, tout en mettant l’accent sur la lutte contre des maladies comme le Mpox.

Dr Xavier Crespin, représentant de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) au Burundi, a réaffirmé le soutien indéfectible des agences onusiennes envers les efforts du gouvernement burundais dans l’amélioration de la santé publique. Il a précisé que des partenariats solides sont nécessaires pour renforcer les initiatives de vaccination dans le pays.

Face aux réticences de certains parents qui hésitent à vacciner leurs enfants en raison de croyances personnelles, la Première Dame SE Angeline Ndayishimiye a demandé instamment aux familles de réévaluer leurs positions. « Il est important que chaque enfant ait accès aux vaccins afin d’assurer un meilleur avenir », a-t-elle déclaré.

Selon des statistiques fournies par le Ministère de la Santé publique, des progrès significatifs ont été réalisés au Burundi en matière de respect du calendrier vaccinal. Cependant, certaines zones, notamment certains districts, continuent d’afficher des résultats non satisfaisanten matière du respect du calendrier vaccinal. La Première Dame a donc encouragé la communauté à prendre très au sérieux le calendrier vaccinal, en vue de préparer un avenir prometteur pour les jeunes générations.

Elle a également incité l’ensemble des acteurs du secteur de la santé à intensifier leurs efforts de sensibilisation, afin de garantir que chaque enfant bénéficie des vaccins nécessaires. La lutte contre les fausses croyances et la désinformation est primordiale pour la santé publique au Burundi, surtout dans le contexte actuel de lutte contre le Mpox.