Le Président Ndayishimiye a reçu en audience le Vice-Président de l’IFC
Le Chef de l’Etat Burundais, Son Excellence Evariste Ndayishimiye a reçu en audience vendredi 10 juin 2022 au palais Présidentiel de Kiriri la délégation de l’International Finance Corporation, une institution du groupe de la Banque mondiale, conduite par Monsieur Sérgio PIMENTA.
Le Président Evariste Ndayishimiye leur a souhaité d’abord la bienvenue au cœur d’Afrique, avant de leur brosser la situation générale du Burundi, un pays considéré comme « un paradis caché.»
Il a rappelé que le Burundi a connu des bouleversements et des vicissitudes historiques, à telle enseigne qu’il a fait marche sur place et a saisi cette occasion pour inviter son hôte de l’IFC d’appuyer le secteur privé pour booster l’économie du Burundi et atteindre le développement durable.
« Le Burundi est un pays riche, je ne le dirai jamais assez » a renchéri le Président de la République citant multiples opportunités dans tous les secteurs du pays. Mais les défis ne manquent pas, a-t- il ajouté, tel est le cas de nos partenaires qui imposent une voie qui ne coïncide pas avec les réalités du pays, a dit le Numéro Un Burundais.
Le Vice-Président de l’International Finance Corporation (IFC) soutien la vision du Père de la Nation Burundaise qui veut que chaque bouche ait à manger et chaque poche de l’argent, et qui mobilise la population à travailler pour l’auto développement.
Le Vice-Président Sérgio PIMENTA est d’accord que le Burundi, même s’il est confronté aux défis mondiaux comme d’autres pays, est un Etat qui se développe compte tenu des différentes réalisations, de l’engagement et de l’effort remarquable des leaders du pays et spécialement du Président de la République dans les secteurs clé du développement, tels l’agriculture, l’élevage…
Sergio PIMENTA a également indiqué que sa première visite au Burundi a pour objectif d’analyser dans quelle mesure l’IFC pourrait aider le développement de l’entreprise privée au Burundi.
Le Président de la Republique leur a remercié de cette mission effectuée au Burundi et exhorte les services techniques à collaborer pour identifier les secteurs clé qui pourraient bénéficier de leur soutien.