Le Président Ndayishimiye remercie Dieu pour sa bienveillance sur le Burundi pour l’année 2020
A la clôture du deuxième jour de la prière d’action de grâce, le Chef de l’Etat, Son Excellence Evariste Ndayishimiye, a indiqué que l’année 2020 a été une année d’abondance et de bénédictions, une année spéciale pour les Burundais, comme l’avait prédit Son Excellence feu Président Pierre Nkurunziza.
Evoquant certains des faits qui prouvent que Dieu a été spécialement au côté des Burundais, le Président de la République a d’abord donné l’exemple des élections générales organisées, avec succès, sans apport externe et qui a été suivi d’une période de paix et de sécurité totale, une première fois dans l’histoire du pays.
Il a ensuite souligné que la production du riz s’est multipliée par six cette année par rapport à l’année 2019, ajoutant que la récolte de la petite saison pluvieuse sera bonne à voir l’état des champs de maïs, étant donné que la pluie a été abondante.
Son Excellence Evariste Ndayishimiye a confié que suite au système d’irrigation et d’arrosage, la production a été bonne même dans certaines localités qui ont l’habitude d’être frappées par la famine.
Une autre preuve indéfectible prouvant que le Tout Puissant a été du côté du Burundi et des Burundais, selon le Père de la Nation, c’est le fait que Dieu a préservé le Burundi contre la propagation de la COVID-19, à tel point que la campagne lancée par le Chef de l’Etat contre cette pandémie a fait que jusqu’à cette date il n’y a plus de contamination en interne, sauf des cas des gens venus de l’étranger, et qui sont traités et guéris.
Il a en outre révélé que le pays accueille des gens qui fuient leurs pays suite à la COVID-19 notamment ceux qui demandent des visa de plus d’une année et ceux qui refusent de retourner dans leurs pays, après l’expiration de la durée de séjour.
Un autre évènement important qui va dans la suite des œuvres de Dieu au Burundi, c’est la récente décision de l’ONU de retirer le Burundi sur l’agenda du Conseil des Nations Unies, un dossier que les Burundais avaient soumis dans les mains de Dieu.
Il a, enfin, souligné que c’est la première fois dans l’histoire du monde que ceux qui ont fui le pays demandent aux autorités du pays d’intervenir aux près des pays d’accueil pour qu’ils puissent retourner au bercail.